Sculpture

Rachid Khimoune — Prix Taylor (sculpture) 2015

Riche, diverse la création de cet artiste apporte un regard neuf sur le monde, en révèle des facettes inconnues.

Tout d’abord peintre et dessinateur à sa sortie de l’Ecole des Beaux-Arts de Paris Rachid Kimoune s’est orienté vers la sculpture sans pour autant délaisser ses premières amours. Son art suscite une attirance  par sa singularité, son invention et l’intérêt qu’il témoigne pour notre environnement qui s’exprime par l’originalité du regard et des matériaux employés.

Nisa Chevènement — Prix Taylor (sculpture) 2015

Cette  sculpture entraîne dans un monde singulier peuplé d’une foule de personnages minuscules qui structurent l’œuvre ; elle nécessite une attention approfondie pour en découvrir le sens, les détails.

Les bronzes à la cire perdue de Nisa Chevènement se rapportent à un thème unique : l’humanité ;non un être en particulier mais l’ensemble des hommes. Dans une quête permanente elle reprend sans cesse ses recherches :la solitude dans la multitude et approfondit sa réflexion en une création qui affirme un talent très personnel dans une figuration renouvelée.

Hélène Arfi — Prix Évariste Jonchère 2015

Ce qui frappe d’emblée dans la sculpture d’Hélène Arfi ce sont la vie, le mouvement qu’elle communique à ses modèles.

A découvrir son bestiaire on devine sa passion pour la nature, les  animaux, la faune sauvage notamment et avant tout pour son art. Ses créations sont habitées d’un grand naturel, proches de la vérité de chaque animal et si l’on reconnaît fort bien toutes les espèces, cette réalité s’accompagne de l’imagination de l’artiste.