Gravure
Catherine Gillet — Prix Paul Gonnand 2016
Lentement, avec précision ce graveur creuse son sillon dans le métal avec son burin ignorant l’issu de son dessin. Il faut une vraie passion pour pratiquer cet art minutieux et incertain.
Fraîcheur, liberté, émotion caractérisent le travail de Catherine Gillet qui dit vouloir restituer « les traces du temps sur le vivant ». La lecture de ses gravures n’est pas toujours aisée ; ce sont souvent des fragments. La lenteur du travail au burin permet réflexion, méditation car cette petite pièce à manier avec précaution sur le cuivre traduit évidemment la pensée transmise par la main.
La taille et le crayon
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Femmes graveurs - femmes gravées
FEMMES GRAVEURS ? ou GRAVEUSES ? ou GRAVEURES ? Quoi qu’il en soit, « La Taille et le Crayon » a constaté que les femmes sont de plus en plus nombreuses à pratiquer la gravure, soit seules, soit dans des ateliers collectifs, soit pour des galeries soit dans l’enseignement… Il est apparu opportun de refléter l’importance de cette évolution.
FEMMES GRAVEURS ? ou GRAVEUSES ? ou GRAVEURES ? Quoi qu’il en soit, « La Taille et le Crayon » a constaté que les femmes sont de plus en plus nombreuses à pratiquer la gravure, soit seules, soit dans des ateliers collectifs, soit pour des galeries soit dans l’enseignement… Il est apparu opportun de refléter l’importance de cette évolution.
André Bongibault, lauréat 2016 du Grand Prix Léon Georges Baudry
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« André Bongibault associe l’aquatinte et le burin. Elles sont imprimées en noir, mais discrètement colorées à l'aquatinte. L’aquatinte donne des valeurs finement dégradées sur des champs étendus, le burin trace des lignes nettes du dessin... Ces images énormes naissent d'une émotion, se développent par le travail de l'imagination, et méritent ainsi d'être appelées fantastiques... »
André Bongibault
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« Le graveur associe l’aquatinte et le burin. Elles sont imprimées en noir, mais discrètement colorées à l’aquatinte. L’aquatinte donne des valeurs finement dégradées sur des champs étendus, le burin trace des lignes nettes du dessin... Ces images énormes naissent d’une émotion, se développent par le travail de l’imagination et méritent ainsi d’être appelées fantastiques… »