In choro bestiarum - La Taille et le Crayon
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Représenter l’animal, c’est pénétrer dans un antre magique, peuplé de vies cachées, paisibles, indifférentes, voire hostiles, inépuisables.
Dessin
Eloïse de Susanne
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Sa recherche picturale oscille entre mouvement, spontanéité, fougue et précision du dessin. Elle tente de construire un fil sensible entre ce qu’elle perçoit et ce qui l’entoure.
Muriel Moreau
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Un monde sensible, inconnu, énigmatique est saisi dans de grands formats poétiques parfois minimalistes, parfois plus giboyeux.
Kiyoshi Hasegawa (1891-1980)
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Découvrir ce rythme pur et subtil de l’univers dans la plus pauvre, la plus humble des œuvres de la nature… telle est ma philosophie.
La Taille et le Crayon
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Dessins de graveurs
Invité d'honneur Dominique Aliadière
Sylvie Abelanet - Sergio Aquindo - Alain Cazalis - Vera Di Bianca - Léon Gaurreaud De Mainvilliers
Invité d'honneur Dominique Aliadière
Sylvie Abelanet - Sergio Aquindo - Alain Cazalis - Vera Di Bianca - Léon Gaurreaud De Mainvilliers
Chatelain / Parrein / Géry
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Les figures évanescentes des gravures et dessins de Pascale Parrein dialoguent avec les visages tourmentés des sculptures d’Yvan Chatelain et les tableaux à la fois noirs et lumineux du peintre David Géry.
Eugène Viala (1859-1913) - La Cendre du rêve
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Eugène Viala (1859-1913), artiste libre et aux multiples facettes, développa par son approche de l'eau-forte un langage singulier teinté de fantastique et de poésie. Cette exposition est présentée en collaboration avec le Musée Denys-Puech de Rodez agglomération et la contribution d'un collectionneur privé.
Elisabeth Straubhaar
Réalisés au crayon, à la poudre et pâte de graphite, les dessins Elisabeth Straubhaar s’inspirent de la nature et de l’être humain.
L’artiste superpose les représentations pour proposer un monde onirique, du gris subtil au noir profond.
A Fleur de Corps
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Les toiles foisonnantes à l’enchevêtrement de corps de Marc Kapko se mêlent aux surprenantes et
poétiques sculptures en cire de Nathalie Latour, et aux dessins oniriques, du gris subtil au noir profond, d’Elisabeth Straubhaar.